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Rêve Insomniaque D'Une Fin De Nuit...
2 Avril 2007, 7h30, près de La-Roche-Sur-Yon...
(A l'arrière de la voiture depuis des heures ; il fait encore nuit)
Imagine
Un monde où il ferait tout le temps nuit
Un monde
Où les feux d'artifice seraient des éruptions solaires
Et les couchers de Soleil, mythologiques
Un monde où tout serait électrique
L'éclairage, les voitures, les guitares
Où l'on se cacherait juste en éteignant la lumière
Un monde d'économie d'énergie
Où les boîtes de nuit seraient des bals populaires
Et les néons des constellations
Un monde où nous serions rouges, verts ou bleus
Selon la couleur des enseignes
Où Minuit serait un âge de la vie
Je t'aimerais toute la nuit
Et il ferait nuit tout le temps...
Gatrasz.
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Commentaires
et si j'écris
que la nuit semble "éternel" au masculin, ce n'est pas une faute d'accord... c'est juste que j'arrive pas à distinguer si c'est un mâle ou une femelle.B'jour Max'
...ok, je prends ! Sérieux, je pensais pas que ça se trouvait encore, même au marché noir, sous une nuit sans lune^^et la lumière
d'un amour reste éternel, tu suscite l'émotion à la lecture de tes mots! baisers là pour toiMerci...
...Inconnue pour ces mots ; oui, c'est une lumière qu'on a jamais besoin d'éteindre, ça :)Oui
...avec de la lumière qui gronde au fond des yeux, sous la peau et ne demande qu'à tout illuminer, juste...pour eux.C'est que...
...y'a tant de chose à dire qu'il faudrait en parler ailleurs, ou on y est encore demain ;)B'jour Flo...
...en même temps, tu n'éteins que si tu as envie de te cacher...et puis tu peux laisser la veilleuse aussi :)13barbaraMardi 10 Avril 2007 à 11:35Salut Gat'
Et on se consumerait comme l'éternité d'une ampoule basse consommation ;-) Joli texte pragmapoétique :-)
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suite à votre annonce en vers, nous tenons à vous faire parvenir deux billets de train valables avant 1905 pour faire un voyage sur la face cachée de la Lune. Vous y trouverez avec ravissement tous les caprices de l'électricité non conquise des flon-flon, du p'tit vin blanc qu'on siffle sous les tonnelles, et de la nuit qui semble éternel tant qu'on ne met pas le pied où il fait jour, si ce n'est au clair de Terre.