• Je tenais à remercier la belle fée qui a si joliment su répondre à mon appel d'hier... Au plaisir de te (re)prendre (en otage) !

    Ce matin dans ma cellule, au p'tit dèj' une carotte et un bol de lait...

    Gatrasz.

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  • EDITION SPECIALE

    Hier, le centre commercial de P. (en province) fut le théâtre d'un évènement tout à fait grotesque ; les clients du Monoprix s'en souviendront sans doute longtemps.

    En milieu d'après-midi, vers 15 heures, un jeune homme portant une chemisette de toile brune, un jean's délavé et de grosses chaussure de montagne fut pris d'une soudaine crise de démence. Arrachant le cabas d'une jolie riveraine terrorrisée, il la prit en otage, la menaçant ainsi que ceux qui s'approchaient avec un instrument contondant de la taille et de l'aspect d'une carotte (la plupart des témoins affirment que c'en était bien une ; elle proviendrait du cabas de la victime).

    Ayant établi un périmètre autour d'eux, le jeune homme fit alors prestement entendre ses revendications, aussi étranges qu'inhabituelles...
    De la tendresse... Encore, et encore ; il ne voulait que ça... Face à cette demande pour le moins inattendue, les gens s'en allèrent peu à peu ; le forcené se retrouva bientôt tout seul dans la galerie, entre une chocolaterie et un escalier mécanique. Même son otage s'était enfuie ; et la carotte menaçante gisait à présent sur le sol, inutile...

    Selon les 2 ou 3 personnes ayant assisté par hasard à son interpellation quelques minutes plus tard, le jeune homme, à genoux et les bras menottés dans le dos, embrassait encore les genoux des C.R.S. ; finalement, excédé, un Compagnon Républicain de Sécurité lui assena de bruyantes marques de tendresse, à grands coups de matraque. Alors le forcené, tout à fait calmé, fut emmené dans le car de C.R.S. qui s'éloigna en direction du commissariat.

    DERNIERE MINUTE : A l'heure où nous imprimons ces lignes, une petite annonce en provenance de la prison centrale de P. nous parvient :

    "Jeune homme privé de sa raison et de sa liberté recherche belle geôlière pour sa prison dorée. Personnes sérieuses s'abstenir"


    Gatrasz.


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  • Bah mince, je pensais qu'on serait discrets, pourtant, même habillés comme ça. Filous de papparazzi !

    Gatrasz.


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  • Hello ! Peut-être avez vous remarqué une questionnite aigue sévissant actuellement sur les blogs. J'ai été contaminé moi-aussi, malheureusement ; et la coupable , la voici ! Vous pouvez voir le résultat içi. Voilà ; je pense que c'est tout ce qu'il y a à dire pour l'instant.

    Gatrasz.



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  • Venez-moi en aide ! Je suis tombé, malheur à moi, sous l'emprise de ce que mon amie Wikipédia (elle a vraiment des termes bien à elle) appelle "an Australian reggae-influenced rock band of the early 1980s"... Men At Work. Je sais, c'est affreux, j'aimerais que quelqu'un m'aide ; "Helpless Automaton" tourne en boucle dans ma tête. Débarrassez-moi de ce solo de guitare ! Il me poursuit toute la journée, depuis deux jours au moins, et je danse sans cesse, contre ma volonté, une sarabande robotique endiablée... Et quand ce n'est pas ça, je m'enferme dans ma cellule capitonnée, surveillant la porte, tremblant au moindre bruit, en me disant "Who can it be now ?"...

    Au secours.

    En plus cette nuit j'ai fait un rêve affreux. Elle faisait exprès de me donner des adresses incomplètes, pour que je ne puisse plus jamais la contacter. Et puis elle me disait "...mais on se reverra peut-être, tu sais". L'horreur ; on ne devrait pas pouvoir torturer les gens jusque dans leurs rêves.

    --Soupir--

    Gatrasz.



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