• . Aujourd'hui, j'ai envie de rappeler quelque chose que je trouve fondamental. Il ne faut jamais oublier que le Soleil brille, ou que nous soyons. C'est un principe. Trop souvent, nous n'y pensons pas, nous l'oublions. C'est mal... ;)

    . Parfois, quand il fait un peu plus froid notre petite âme sombre
    (ça, c'est pour moi) et impressionnable se charge d'humidité, comme un ciel d'orage à la fin de l'après-midi ; et lorsqu'elle sature, que cela déborde, elle s'essore. Elle trempe ainsi notre face sensible et l'eau se répend tout autour de nous dans un océan de tristesse. Mais derrière ces nuages gris, le Soleil est là qui attend que l'on pense à lui.

    . Car il est toujours là, plein de sa lumineuse électricité ; l'imposture de nos esprits est de nous faire croire qu'il se cache, et qu'il nous faut l'attendre, les yeux mouillés de larmes avec un brin d'espoir entre les dents. Le Soleil brille à notre portée, sans cesse ; c'est ce petit coeur qui bat la chamade dans nos poitrines, vaillamment qui nous le représente à sa façon. Ce que l'on voit n'est qu'une image, une représentation de ce que l'on veut bien croire ; et si l'on imaginait le Soleil orange, sans doute le serait-il pourvu qu'on y croie un peu...

    . Croyons donc que le Soleil est là ; ainsi nous apercevrons-nous qu'il nous réchauffe déjà de ses bras/rayons, comme une mère veille sur ses enfants, et que sa bienveillance est infinie...


    Gatrasz.


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  • ...en voici une , justement. Parce que si tu n'en vois pas, Barbara, (ce qui est pourtant peu courant comme circonstance^^), elles sont tout de même dans nos têtes et dans nos coeurs au même titre que les autres...

    P.S. : Ne me demandez pas pourquoi je l'ai dessinée en contre-plongée à côté du frigo, je ne vous le dirai pas de toute façon. Et puis je la mets en low-quality.

    Gatrasz.

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  • . Il y a quelques temps, j'avais développé une théorie un peu... particulière sur mes crises de consommation d'alcool(s) très régulières, tous les trois mois environ, à peu près en connection avec mes passages cycliques de déprime. Il faut n'avoir rien à faire pour se laisser aller à réfléchir à ça, c'est vrai ; mais je suis ainsi fait. Quand une préoccupation s'en va, une autre prend sa place pour meubler le vide sidéral qui sinon s'annonce. La seule exception, c'est la musique ; elle m'empêche de trop penser. Je peux fixer dessus mon esprit et me laisser conduire un moment, sans rien d'autre que ce fil conducteur. C'est efficace ; j'ai oublié ce qu'est le stress depuis que j'écoute un peu (enfin, beaucoup) Dire Straits, par exemple...

    Mais passons. Mes élucubrations aidant, j'en étais venu à envisager une sorte de purge mystique par l'alcool, en atteignant une espèce de transe. Le fait est que, vivant en ville continuellement, j'amasse chaque jour des masses de saletés en suspension dans l'air, la pollution quoi. Et puis dans la nourriture, les boissons (toutes^^), et de la même manière pour les paroles et les idées. Le corps accumule tout ça, et cela l'affecte, le ronge, le détruit de l'intérieur. Il lui est donc nécessaire, et même salutaire, de s'en débarrasser...

    Cela agirait par abus progressif d'une toxine jusqu'à ce que le corps se révolte et expulse, en bloc, tout ce qui l'affecte. Le principe de la goutte qui fait déborder le vase, en somme... Mais en beaucoup plus "fort" ; on se réveille de ça épuisé, mais on se sent vide, pur, neuf et prêt à recommencer une nouvelle vie. Jusqu'à la prochaine étape...

    J'ai cherché depuis des correspondances avec d'autres expériences du même type ; j'ai trouvé des liens parfois ténus avec certaines affections (par exemple la boulimie), ou alors des techniques proches. Sauf qu'elles étaient plutôt destinées à... sevrer les alcooliques. Cela ne s'invente pas... Un magnifique pied de nez, que je tâche d'accepter avec toute la philosophie possible. Voilà bien l'intérêt de développer des théories foireuses !

    Gatrasz.

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  • Il m'arrive parfois d'écrire des chansons, quoique le terme "commettre" soit plus adapté (vu mon anglais de cuisine...); mais si en plus je ne suis pas dans un état normal, alors là franchement, je ne sais plus si je dois rire de moi, l'air gêné, ou me taper la tête contre les murs... Jugez vous-mêmes :

    Stupid Song Of The Yeah...

    AUSTIN : "Oh, Gina, I'm so happy to be with you..."
    GINA : Austin, you're a fool, but I think I love you !"


    - - ( Musique qui déchire tout ) - -

    If I was a Rock'n Roll Queen (x2)
    I would dance, I would dance,
    If I was a Rock'n Roll Queen
    I would dance like a Sex Machine...

    If I was a Medieval Queen
    (x2)
    I would wear, I would wear,
    If I was a Medieval Queen
    I would wear long, so long Clothin'...

    If I was a little Penguin
    (x2)
    I would shake, I would shake,
    If I was a little Penguin
    I would shake my ass on Ice Fields...

    If you had become a Drag-Queen
    (x2)
    We would look, we would look,
    If you had become a Drag-Queen
    We would look like some funny Twins...

    And if you're still a man, Austin,
    (x2)
    Dry these eyes, dry these eyes,
    And if you're still a man, Austin,
    Dry these eyes and come on, please...

    (Evidemment, c'est Gina qui chante)

    Gatrasz.

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  • (juin 2006)

    Où est-tu, petite grenouille ?
    J'entends ton chant d'amour s'élever dans l'herbe
    Et me voilà cerné par tes semblables
    Vous criez, mais je ne vous vois pas
    Pourtant je t'ai déjà trouvée
    Tu t'es tue alors et j'en suis resté froid
    Tant pis, si je ne vaux pas un Prince
    Il y en a d'autres que moi
    Qui vous mettront la cigarette aux lèvres
    Oh, époumonnez-vous
    Mais ne me rebattez pas les oreilles
    Je pourrais bien vous écraser
    De toute façon vous finirez à plat
    Et l'on ne mangera jamais que vos cuisses
    Tant mieux;
    Ainsi vous ne sauterez plus
    Je n'ai que faire de ton mépris
    Ni des pustules qui recouvrent ta peau humide et froide
    Tu peux toujours courir pour la réchauffer
    C'est bête...
    Tu devrais fermer ces yeux vides
    Qu'on ne voie pas qu'ils ne cachent rien
    Tu dis : "Quoi ?"
    Je dis : "Viens"...

    Gatrasz.

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